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Grand Theft Auto : Chinatown Wars est maintenant disponible sur iPhone.

C’est donc sans surprise que l’on y retrouve Huang Lee, un gosse de riche sans histoires fraîchement débarqué à Liberty City depuis sa Chine natale, afin d’apporter à son oncle Kenny – évidemment mafieux de son état – une épée soi-disant légendaire. Un bien inestimable aussitôt volé à notre héros à son arrivée dans la ville de tous les excès, et qu’il s’attachera donc à retrouver tout au long de l’aventure, tout en prenant soin de se venger bien sûr. Un scénario propice à tous les éléments de habituels de la saga, qui alterne toujours dans cet environnement entièrement ouvert phases de conduite, de tir ou encore d’exploration au travers de nombreuses missions à base de voitures (ou de motos) volées, de descentes musclées, de prostituées et de substances illicites.

Du GTA dans toute sa splendeur et en 2D, comme au bon vieux temps, pour un résultat aussi léché sur iPhone/iPod Touch que sur DS. Afin de palier les éventuels problèmes de précision, la visée est, elle, désormais automatique, ce qui n’est franchement pas plus mal. Gros point fort de la version DS, les mini-jeux tactiles sont, eux aussi, au rendez-vous (fouiller une benne pour y trouver un pistolet, démarrer une voiture avec un tournevis, etc.) pour un épisode toujours aussi riche et dense, et doté qui plus est d’une atmosphère unique.

Babel Rising nous invite à jouer les Dieux et empêcher les Hommes de construire la Tour de Babel. Mais punir ces hérétiques s’annonce plus compliqué et subtil que de leur infliger des langues différentes ; on dispose ici de cinq sorts à l’efficacité croissante plus on attend leur chargement (le doigt de Dieu, la foudre, la tornade, le tsunami et la pluie de météorites), plus un châtiment ultime, le tremblement de terre, disponible toutes les quatre minutes environ. Et à chaque punition, son mouvement déclencheur : une simple pression sur l’écran suffit pour écraser un ou plusieurs frêles bâtisseurs grâce au doigt de Dieu, tandis que la foudre s’abattra là où se termine un trait vif venu du ciel.

Dans tous les cas, il faudra utiliser ces précieux sorts à bon escient, sous peine de voir l’édifice gagner des étages dangeureusement jusqu’à atteindre le firmament, synonyme de notre (inéluctable) défaite. C’est le score des parties (d’une dizaine de minutes en moyenne) qui fera donc foi, chaque action se traduisant par des points, multipliés dans le cas d’enchaînements. Babel Rising fait donc partie de ces jeux à scoring simples mais assez addictifs, d’autant qu’il intègre le système de classements en ligne Open Feint. Bref, pour 0,79 €, le jeu en vaut clairement la chandelle.

Et oui ce sont les fans du premier opus qui seront ravis !

En effet pour la modique somme ? de 7,99Euros vous pourrez jouer de l’accéléromètre.

Enfin 8 Euros, quand on sait que le premier était a 3 Euros… Allez vous craquer?

Il semble réellement réinventer un jeu qui était novateur et particulièrement adapté à l’iPhone lorsque ses auteurs l’ont sorti mais depuis copié allègrement. Comme pour le premier, l’éditeur de tableaux et la possibilité d’en télécharger en ligne offrira une durée de vie importante au jeu

Vendu au prix de 3,99Euros